Kourou 28 août

Nous sommes arrivés juste à temps pour voir partir la première barge de la journée, pour la deuxième nous avons attendu 6 heures.

Le retour, c'était beaucoup moins bien que l'aller.Les "chargeurs" de balsa n'ont pas voulu tenir en compte notre status
et nous avons passé 36 heures très fatigantes

Nous savions ce qui nous attendait, la chaleur, les trous et la poussière pendant 200 km



Oiapoque,(la frontière) et les tarifs qui ne sont plus brésiliens

terre guyanaise

"L'auberge des Orpailleurs", une halte presque obligatoire pour se reposer et revoir des jeunes très sympas

La boucle est bouclée, le parking en bas de "chez nous"




Extrait du mail du 28 aout



Hà !!! não é o Brasil, não, jà foi...Chegamos hoje ao meio dia, fizemos então, novamente a parte mais dificil, bem cansados mas tudo se passou convenientemente.Grande confusão para carregar a balsa em Belem com todos os camiões, e nòs, bem pequeninos ao meio desses 'grandões' todos. Camiões frigorificos, logo muito barulho dos compressores e procuramos um pouco de silencio em instalando as redes por baixo de uma remorque, mas mal atracada ao barco e quando, durante a noite, o vento fez um pouco de ondas, ela fartou-se de guinchar = a duas noites quase sem dormir, depois foram 400 km de asfalto e 200 de terra em muito mau estado. Na fronteira, em relação à administração passou-se bem melhor do que estavamos a contar e atravessamos o rio logo de seguida. Rebocamos um 4x4 (probelemas de caixa de velocidades) de um casal que tinham tambem andado pela América do sul e que o carro avariou perto da fronteira, rebocamos sò para descer do barco. Logo mais 100 km e fomos passar uma boa noite numa pousada que conhecemos bem, de jovens belgas a 100km de casa, daì, no dia a seguir, chegamos a casa porreirinhos.'Tudo bem' BELEZAVamos fazer um 'blog' com todas as fotos e logo de seguida vos diremosA volta foi grande, boa e cheia de aventuras positivas. Adoramos isso. Quando poderemos, recomeçaremos... em outros sitios Um sentimento forte! Boa noite






Hà !!! Ce n'est plus le Brésil, non, c'était...Nous sommes arrivés aujourd'hui, à midi, nous avons donc fait , à nouveau une partie très difficile, bien fatigué mais tout s'est convenablement passé. C'était une grande confusion pour charger la balsa à Belem avec beaucoup de camions et nous, bien petit au milieu de ces monstres. Camions frigorifiques, ça veut dire beaucoup de bruit des compresseurs et pour se procurer un peu de silence, nous avons installés les hamacs sous une remorque, mais celle-ci étant mal câlée, durant la nuit, avec le vent qui a levé un peu de clapot, elle n'a pas arrêté de grincer = 2 nuits quasi sans dormir, ensuite arrivé le mercredi matin à Macapa, nous avons fait les 400 km de bitume et 200 de terre en très mauvais état mais sèche. A la frontière, en ce qui concerne l'administration, tout s'est passé mieux qu'on l'avait pensé et on a traversé la rivière de suite, vers 17 h. Nous avons remorqué un 4x4 ( problème de boite de vitesses) d'un couple qui venait de faire aussi un grand tour par l'Amérique du Sud, dont la voiture est tombée en panne près de la frontière avec la guyane, nous l'avons remorqué juste pour sortir de la barge. Ensuite nous sommes partis pour 100km de virages et nous sommes arrêtés pour la nuit dans une auberge de Guyane que nous connaissons bien 'l'auberge de orpailleurs' tenue par des jeunes belges bien sympathiques, à 100km de chez nous. Le lendemain, nous sommes arrivés à la maison 'en pleine forme'. Tout bien beauté !!!!! expression très brésiliennes. Nous allons faire un blog avec toutes les photos et aussitôt vous serez au courant. Le tour a été grand, beau et plein d'aventures positives. Nous adorons ça. Quand on pourra, on recommencera...en d'autres endroits. Un sentiment fort! Bonne nuit

Salinopolis 21-24 août





























Extrait du mail du 24 aout




Depois de Barreirinhas, passamos novamente por St Luis para apanhar novamente a balsa e fomos dormir a Alcantara, vila bem diferente das outras onde ouve muito "fast", de gente rica de ha muito tempo de St Luis. Toda a vila é calçada de paralélepipedos enormes e que já tem-em mais de 200 anos, com muitas casas de colonizadores em ruínas e outras em restauração, fica em cima de um morro que domina o estuário de um grande rio e com vista para o mangue e tambem para o mar, dormimos dentro do carro mesmo á porta de uma pousada bem simpática, onde jantámos sózinhos numa mesa, duas cadeiras na areia e bem pertinho da água, tambem tomámos pequeno almoço para de seguida fazermos 350km de alcatrão (por uma vez...) onde começamos a ter probelemas de transmição no carro e chegando aqui fizemos uma inspeção, e demos com ela. Tinha que se mudar a peça "na hora" como dizem os brasileiros, se não poderia ser muito pior. Mas esta terra e este povo É UM ESPÉTACULO, e mais uma vez tivemos encontro com gente de uma simpatia e eficacidade que só visto. Depois falaremos para vocês com mais promenores. Todos os que falam de longe sem conhecer não sabem o que dizem. e como diz alguem que conheço " se falares, pensa..."Esta é a ultima praia que fazemos no Brasil, e que boa praia, bom kitesurf e como é costume, BOA GENTE.Amanhã "vai ser outro dia", apanhamos a balsa para atravessar novamente a Amazona, e aí, 36 horas, se tudo correr bem, novamente 200 km de etrra cheia de buracos, 400km para chegar a fronteira, administração para sair do pais (não beleza), e mais 270km para chegar a Kourou.Mas isso é outra história.Fiquem bem e inté+



Depuis Barreirinhas, nous sommes passés à nouveau par Saint Luis pour prendre à nouveau la barge et nous nous sommes arrêtés pour dormir à Alcantara, ville bien différentes des autres ou il y a eu "fast", de gens riches d'il y a longtemps de Saint luis. Toute la ville est chaussée par des paralèlépipèdes énormes qui ont plus de 200 ans, avec beaucoup de maisons des colonisateurs en ruine et d'autres en restauration ( des vrais monuments), elle est juste sur une coline qui domine l'estuaire de cette grande rivière avec vue sur la mangrove et sur la mer, nous avons dormi dans la voiture, juste devant la porte tournée vers la mer de la pousada ou nous avons diné avec une table et 2 chaises sur le sable tout près de l'eau, nous avons aussi pris le petit dej pour faire à nouveau 350km mais cette fois-ci sur le bitume ou nous avons commencé à avoir des problèmes de transmission avec le 4x4, et quand nous sommes arrivés ici à Salinopolis, nous avons fait une inspection, il fallait absolument changer le cardan, très rapidement "na hora" comme disent les brésiliens, sinon ça pourrait être bien pire. Mais cette terre et ce peuple est "magnifique" et encore une fois nous avons fait la rencontre de gens d'une sympathie et d'une efficacité qu'il fallait voir. Plus tard, on vous racontera plus en détail. Tous ceux qui parlent de loin sans connaitre ne savent pas ce qu'ils disent, et comme dit quelqu'un que je connais " si tu parles, penses..." C'est la dernière plage que nous faisons au Brésil, et quelle belle plage, bon kitesurf et comme d'habitude bonnes gens. Demain, "sera un autre jour", nous prenons la barge pour traverser l'Amazonie, et là, 36 heures, si tout va bien, à nouveau 200 km de terre dans un état pitoyable et 400km de bitume pour arriver à la frontière, administration pour sortir du pays (pas Beleza "beauté") et encore 270km pour arriver à Kourou. Mais ça, c'est une autre histoire...Portez vous bien et à plus


Alcântara 20 août

Sur la route (défoncée) pour Alcantara, il se trouve un des rares villages d'africains au brésilD'ailleurs, ils sont en train de les déplacer pour reconstruir le centre spatial brésilien

C'est une pousada mais avec l'autorisation du patron, nous avons préféré dormir dans le "chasseur" Par contre, nous avons mangé un très bon repas sur cette table posée sur le sable, rien que pour nous
La vue de la pousada, on retrouve la mangrove...

Alcantara, les pavés ont plus de 200 ans







Barreirinhas 19 août